Près d'un million d'élèves sont victimes de harcèlement scolaire, un fléau contre lequel le Président de la République s'est engagé à lutter dès son premier mandat.
 

Contre le harcèlement, notre mobilisation est totale. 

D’abord à l’école où nous agissons en faveur d’un cadre éducatif sécurisé, avec les associations, la communauté éducative et les élèves en formant des référents anti-harcèlement dans toutes les académies ou encore en sensibilisant près de 30 000 élèves devenus ambassadeurs « non au harcèlement ». 

Mais aussi en dehors des enceintes scolaires :

  • en renforçant les différents dispositifs accueillant la parole des jeunes dans les maisons des adolescents, les points d’accueil écoute jeunes...
  • en améliorant le traitement judicaire des faits de harcèlement scolaire, avec notamment l'instauration d'un délit spécifique de harcèlement scolaire qui, dans le cadre de la loi du 2 mars 2022 visant à combattre le harcèlement scolaire, prévoit des peines pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende,
  • en luttant contre le cyberharcèlement, avec la création d'un parquet spécialisé sur les affaires de cyberharcèlement, l'imposition aux plateformes numériques de nouvelles obligations ou encore le lancement en février l'application 3018 pour permettre, aux victimes comme aux témoins, de signaler plus facilement des situations de harcèlement et d'améliorer l’accompagnement des victimes.


À la veille de la rentrée scolaire, le Président Emmanuel Macron a tenu à adresser un message aux élèves victimes de harcèlement : Vous n'êtes pas seuls.
 

@emmanuelmacron

 

♬ son original - Emmanuel Macron

 

Si vous êtes victimes de moqueries ou d'attaques répétées à l'école, de violences physiques ou verbales, d'insultes sur les réseaux sociaux : ne restez pas silencieux, PARLEZ-EN :

Je suis victime de harcèlement.

Face au harcèlement, nous sommes tous une partie de la solution.

Professeurs, camarades de classe, familles… Soyons tous attentifs pour voir, signaler, aider. Ne laissons RIEN passer !

Mon enfant est victime de harcèlement.

Je suis un professionnel confronté à un cas de harcèlement.

Je veux aider un camarade de classe harcelé.

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