10 septembre 2008 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de félicitations de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, adressée à M. José Eduardo Dos Santos, pour l'organisation d'élections législatives en Angola, le 10 septembre 2008.
Monsieur,
Je tiens à vous adresser, en mon nom personnel et au nom du peuple français, mes plus sincères félicitations au lendemain des élections législatives qui viennent de se tenir dans votre pays.
Ce scrutin historique et remarquable ouvre une nouvelle page du redressement spectaculaire de votre grand pays. Ces élections sont, à mes yeux, une victoire pour vous-même, pour votre peuple et pour l'Angola.
La France, soyez-en convaincu, se félicite de ce que les Angolais sont aujourd'hui un peuple fier et un peuple debout.
Fidèle à ses engagements, la France se tiendra résolument à vos côtés. Nous conviendrons ensemble, le moment venu, de la date de votre visite d'État en France. Mais je tiens à préparer, sans attendre, cet événement majeur dans l'histoire de nos relations. Déjà, mon gouvernement s'attèle à la tâche et travaille en particulier à la création de la Fondation France-Angola que nous avons évoquée ensemble à Luanda.
Dans l'attente de vous revoir, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'assurance de ma haute considération.
Je tiens à vous adresser, en mon nom personnel et au nom du peuple français, mes plus sincères félicitations au lendemain des élections législatives qui viennent de se tenir dans votre pays.
Ce scrutin historique et remarquable ouvre une nouvelle page du redressement spectaculaire de votre grand pays. Ces élections sont, à mes yeux, une victoire pour vous-même, pour votre peuple et pour l'Angola.
La France, soyez-en convaincu, se félicite de ce que les Angolais sont aujourd'hui un peuple fier et un peuple debout.
Fidèle à ses engagements, la France se tiendra résolument à vos côtés. Nous conviendrons ensemble, le moment venu, de la date de votre visite d'État en France. Mais je tiens à préparer, sans attendre, cet événement majeur dans l'histoire de nos relations. Déjà, mon gouvernement s'attèle à la tâche et travaille en particulier à la création de la Fondation France-Angola que nous avons évoquée ensemble à Luanda.
Dans l'attente de vous revoir, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'assurance de ma haute considération.