15 avril 2008 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de félicitations de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, adressée à M. Silvio Berlusconi, pour sa victoire aux élections législatives en Italie, Paris le 15 avril 2008.
Monsieur le Président,
Je souhaite vous adresser mes plus vives félicitations pour votre victoire aux élections législatives et mes meilleurs voeux de réussite pour votre haute mission.
Je me réjouis de la possibilité qui nous est ainsi donnée d'approfondir encore les liens traditionnels d'amitié et de coopération qui unissent nos deux pays. Mon intention est d'engager avec vous et votre futur Gouvernement une concertation très étroite, notamment pour préparer la Présidence Française de l'Union Européenne. Alors que nous avons des intérêts convergents sur la plupart des dossiers européens, l'appui de votre pays, partenaire essentiel pour la France, sera éminemment décisif.
Je tiens à vous redire tout le prix que j'attache à la relation très privilégiée que nos deux peuples entretiennent.
En vous renouvelant mes souhaits de succès, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.
[mention manuscrite : « et amicale »]
Je souhaite vous adresser mes plus vives félicitations pour votre victoire aux élections législatives et mes meilleurs voeux de réussite pour votre haute mission.
Je me réjouis de la possibilité qui nous est ainsi donnée d'approfondir encore les liens traditionnels d'amitié et de coopération qui unissent nos deux pays. Mon intention est d'engager avec vous et votre futur Gouvernement une concertation très étroite, notamment pour préparer la Présidence Française de l'Union Européenne. Alors que nous avons des intérêts convergents sur la plupart des dossiers européens, l'appui de votre pays, partenaire essentiel pour la France, sera éminemment décisif.
Je tiens à vous redire tout le prix que j'attache à la relation très privilégiée que nos deux peuples entretiennent.
En vous renouvelant mes souhaits de succès, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.
[mention manuscrite : « et amicale »]