26 juin 2002 - Seul le prononcé fait foi
Message de M. Jacques Chirac, Président de la République, au peuple malgache, sur la situation politique de Madagascar, Paris le 26 juin 2002.
A l'occasion de la Fête nationale de Madagascar, j'ai le grand plaisir d'adresser au peuple malgache, en mon nom personnel et au nom du peuple français, mes sentiments de chaleureuse sympathie.
Dans l'épreuve difficile traversée depuis plusieurs mois par votre pays, je veux assurer chacune et chacun d'entre vous de la solidarité et de l'amitié de la France. Je suis convaincu que, seule, une solution politique basée sur un dialogue constructif entre toutes les parties, peut permettre de retrouver le chemin de l'unité, de la paix et du développement.
En ce sens, le France, fidèle à sa relation d'amitié envers Madagascar, n'a pas ménagé et ne ménagera pas ses efforts dans l'avenir, pour soutenir les initiatives de l'OUA afin que se dessine, à brève échéance, une solution de sortie de crise acceptable par tous. Il est temps que chacun retrouve la voie de l'apaisement. C'est à ce prix que la concorde reviendra dans la Grande Ile.
Fort de cet espoir, et confiant dans la sagesse du peuple malgache, je souhaite ardemment que les relations d'amitié et de coopération qui ont toujours si heureusement existé entre nos deux pays, s'approfondissent encore dans un avenir proche.
Jacques CHIRAC
Dans l'épreuve difficile traversée depuis plusieurs mois par votre pays, je veux assurer chacune et chacun d'entre vous de la solidarité et de l'amitié de la France. Je suis convaincu que, seule, une solution politique basée sur un dialogue constructif entre toutes les parties, peut permettre de retrouver le chemin de l'unité, de la paix et du développement.
En ce sens, le France, fidèle à sa relation d'amitié envers Madagascar, n'a pas ménagé et ne ménagera pas ses efforts dans l'avenir, pour soutenir les initiatives de l'OUA afin que se dessine, à brève échéance, une solution de sortie de crise acceptable par tous. Il est temps que chacun retrouve la voie de l'apaisement. C'est à ce prix que la concorde reviendra dans la Grande Ile.
Fort de cet espoir, et confiant dans la sagesse du peuple malgache, je souhaite ardemment que les relations d'amitié et de coopération qui ont toujours si heureusement existé entre nos deux pays, s'approfondissent encore dans un avenir proche.
Jacques CHIRAC