14 mai 2001 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de félicitations M. Jacques Chirac, Président de la République, adressée à M. Silvio Berlusconi, pour sa victoire électorale, Paris le 14 mai 2001.
Monsieur le Président,
Je vous adresse mes félicitations pour la victoire que vous avez remportée lors du scrutin du 13 mai et forme les voeux les plus sincères de réussite pour la tâche qui vous attend.
Vous pouvez être assuré de mon entière disposition à continuer à oeuvrer, avec vous, à l'enrichissement constant et quotidien des relations entre l'Italie et la France.
Leurs affinités humaines et culturelles, qui se traduisent souvent par une réelle convergence de vues aussi bien sur les dossiers bilatéraux que sur les questions internationales, permettent à l'Italie et à la France de jouer un rôle essentiel dans la construction européenne, au service de l'ambition partagée d'une Europe démocratique, stable, prospère et puissante. Je suis convaincu que notre dialogue et notre coopération peuvent encore se développer et la France est déterminée à ce qu'il en aille ainsi.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.
Je vous adresse mes félicitations pour la victoire que vous avez remportée lors du scrutin du 13 mai et forme les voeux les plus sincères de réussite pour la tâche qui vous attend.
Vous pouvez être assuré de mon entière disposition à continuer à oeuvrer, avec vous, à l'enrichissement constant et quotidien des relations entre l'Italie et la France.
Leurs affinités humaines et culturelles, qui se traduisent souvent par une réelle convergence de vues aussi bien sur les dossiers bilatéraux que sur les questions internationales, permettent à l'Italie et à la France de jouer un rôle essentiel dans la construction européenne, au service de l'ambition partagée d'une Europe démocratique, stable, prospère et puissante. Je suis convaincu que notre dialogue et notre coopération peuvent encore se développer et la France est déterminée à ce qu'il en aille ainsi.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.