19 avril 2001 - Seul le prononcé fait foi
Point de presse conjoint de M. Jacques Chirac, Président de la République, et M. Ricardo Lagos Escobar, Président de la République du Chili, sur les relations entre la France et le Chili et le soutien que la France apporte au Chili dans ses négociations avec l'Union européenne, Paris, le 19 avril 2001.
Je voudrais vous dire que c'était un grand plaisir pour la France de recevoir le président du Chili. Nous observons avec à la fois beaucoup d'admiration mais aussi beaucoup de satisfaction les progrès considérables qui sont faits actuellement sous l'impulsion du président dans l'enracinement de la démocratie et le développement économique et social du Chili.
J'ai donc été heureux d'entendre le président me parler des réformes qu'il a engagées et de l'avenir de son pays.
Nous avons évoqué naturellement les problèmes bilatéraux, mais vous savez que nos relations politiques, économiques, culturelles sont excellentes.
Nous avons parlé du processus d'intégration progressive en Amérique Latine et des relations entre l'Amérique Latine en général, le Chili en particulier, et l'Union européenne.
Enfin, cela a été, pour ce qui me concerne, un entretien extrêmement agréable et extrêmement positif, tout à fait digne des relations, que nous voulons excellentes et fraternelles, entre nos deux pays.
(¿)
Q - Monsieur le Président Chirac, le Chili est venu demander l'appui de la France dans le cadre des négociations avec l'Union européenne. Est-ce que la France apporte son appui à ce que souhaite le Chili à cet égard ?
R - Oui, sans l'ombre d'un doute. Nous souhaitons naturellement que ces négociations aillent vite. Nous voudrions qu'elles aillent d'un même pas avec le Mercosur et avec le Chili mais nous sommes prêts à accélérer notre processus de négociation avec le Chili. Nous n'avons pas de contentieux avec le Chili, nous avons tout intérêt le Chili et nous à aller vite et donc la France apportera son soutien au Chili.
Q - Votre prochain rendez-vous, c'est au Chili, n'est-ce pas ?
R - Exactement. Bravo de l'avoir deviné ! Le président m'a invité. Comme vous le savez, je devais aller en 1999 au Chili mais l'affaire du Kosovo m'a obligé à annuler les deux ou trois voyages à l'étranger que j'avais à ce moment là.
Alors, j'attendais beaucoup que le président m'invite. Il m'a fait attendre jusqu'au dessert de notre déjeuner de travail. Je commençais à être un peu triste ! Mais, au dessert, il m'a invité, j'ai répondu oui et nous allons chercher la meilleure date possible. Je me réjouis beaucoup de pouvoir lui rendre sa visite
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 avril 2001)
J'ai donc été heureux d'entendre le président me parler des réformes qu'il a engagées et de l'avenir de son pays.
Nous avons évoqué naturellement les problèmes bilatéraux, mais vous savez que nos relations politiques, économiques, culturelles sont excellentes.
Nous avons parlé du processus d'intégration progressive en Amérique Latine et des relations entre l'Amérique Latine en général, le Chili en particulier, et l'Union européenne.
Enfin, cela a été, pour ce qui me concerne, un entretien extrêmement agréable et extrêmement positif, tout à fait digne des relations, que nous voulons excellentes et fraternelles, entre nos deux pays.
(¿)
Q - Monsieur le Président Chirac, le Chili est venu demander l'appui de la France dans le cadre des négociations avec l'Union européenne. Est-ce que la France apporte son appui à ce que souhaite le Chili à cet égard ?
R - Oui, sans l'ombre d'un doute. Nous souhaitons naturellement que ces négociations aillent vite. Nous voudrions qu'elles aillent d'un même pas avec le Mercosur et avec le Chili mais nous sommes prêts à accélérer notre processus de négociation avec le Chili. Nous n'avons pas de contentieux avec le Chili, nous avons tout intérêt le Chili et nous à aller vite et donc la France apportera son soutien au Chili.
Q - Votre prochain rendez-vous, c'est au Chili, n'est-ce pas ?
R - Exactement. Bravo de l'avoir deviné ! Le président m'a invité. Comme vous le savez, je devais aller en 1999 au Chili mais l'affaire du Kosovo m'a obligé à annuler les deux ou trois voyages à l'étranger que j'avais à ce moment là.
Alors, j'attendais beaucoup que le président m'invite. Il m'a fait attendre jusqu'au dessert de notre déjeuner de travail. Je commençais à être un peu triste ! Mais, au dessert, il m'a invité, j'ai répondu oui et nous allons chercher la meilleure date possible. Je me réjouis beaucoup de pouvoir lui rendre sa visite
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 avril 2001)