13 août 2000 - Seul le prononcé fait foi
Message de M. Jacques Chirac, Président de la République, adressé à M. Edouard Chevardnadze, président de la Géorgie, sur la libération des trois otages du CICR détenus près de la Tchétchénie, Paris le 13 août 2000.
Monsieur le Président,
C'est avec une grande satisfaction que je viens d'apprendre la libération sains et saufs de Mme Sophie Procofieff et des deux autres membres du Comité international de la Croix-Rouge enlevés le 4 août dernier, lors d'un déplacement dans la vallée de Pankissi.
Je veux vous exprimer sans attendre ma très chaleureuse gratitude pour la considération diligente et attentive que vous avez portée au sort de cette équipe du CICR durant sa détention. Je sais aussi la part personnelle que vous avez prise à l'issue rapide de cette affaire et la détermination qui a été la vôtre pour que rien ne soit fait qui puisse mettre en péril la sécurité de ma compatriote et de ses coéquipiers.
Au nom de la France, je vous remercie de bien vouloir exprimer ma vive reconnaissance à l'ensemble des responsables géorgiens qui ont contribué avec efficacité à ce dénouement heureux.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 août 2000)
C'est avec une grande satisfaction que je viens d'apprendre la libération sains et saufs de Mme Sophie Procofieff et des deux autres membres du Comité international de la Croix-Rouge enlevés le 4 août dernier, lors d'un déplacement dans la vallée de Pankissi.
Je veux vous exprimer sans attendre ma très chaleureuse gratitude pour la considération diligente et attentive que vous avez portée au sort de cette équipe du CICR durant sa détention. Je sais aussi la part personnelle que vous avez prise à l'issue rapide de cette affaire et la détermination qui a été la vôtre pour que rien ne soit fait qui puisse mettre en péril la sécurité de ma compatriote et de ses coéquipiers.
Au nom de la France, je vous remercie de bien vouloir exprimer ma vive reconnaissance à l'ensemble des responsables géorgiens qui ont contribué avec efficacité à ce dénouement heureux.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de ma très haute considération.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 août 2000)