17 novembre 1997 - Seul le prononcé fait foi
Message de M. Jacques Chirac, Président de la République, après le décés de M. Nelson Paillou, ancien Président du Comité National Olympique et Sportif Français, Paris le 17 novembre 1997.
J'ai appris avec une très vive émotion la mort accidentelle de Nelson Paillou.
J'avais pour lui une très grande estime, une profonde admiration et une solide amitié nous unissait.
Cet homme dont j'appréciais la générosité, le dynamisme, le goût du risque, le panache, la chaleur, cet homme qui savait toujours trouver le mot juste pour rassurer, réconforter les athlètes qui le considéraient un peu comme un père, cet homme aura incarné, pendant les onze années passées à la tête du Comité National Olympique et Sportif Français, l'idéal olympique par excellence.
Aussi, dans ces douloureuses circonstances, je souhaite m'associer à la peine qu'éprouve tout le monde olympique et sportif et témoigner toute ma sympathie à ses proches auxquels j'adresse mes très sincères et très tristes condoléances.
J'avais pour lui une très grande estime, une profonde admiration et une solide amitié nous unissait.
Cet homme dont j'appréciais la générosité, le dynamisme, le goût du risque, le panache, la chaleur, cet homme qui savait toujours trouver le mot juste pour rassurer, réconforter les athlètes qui le considéraient un peu comme un père, cet homme aura incarné, pendant les onze années passées à la tête du Comité National Olympique et Sportif Français, l'idéal olympique par excellence.
Aussi, dans ces douloureuses circonstances, je souhaite m'associer à la peine qu'éprouve tout le monde olympique et sportif et témoigner toute ma sympathie à ses proches auxquels j'adresse mes très sincères et très tristes condoléances.