1 octobre 1990 - Seul le prononcé fait foi
Message de M. François Mitterrand, Président de la République adressé à l'union française des associations de combattants et victimes de guerre, Paris le 1er octobre 1990.
C'est bien volontiers que j'accède à la demande du Président René Peyre et que j'adresse, à l'assemblée générale de l'UFAC, mes félicitations et mes voeux les plus sincères à l'occasion de son 45ème anniversaire.
- Forte des dix sept cent mille anciens combattants qu'elle fédère, votre organisation a pleinement répondu à l'attente du législateur de 1945, qui, sans méconnaître la diversité du monde combattant, souhaitait susciter un interlocuteur qui fût à même d'exprimer l'ensemble des intérêts et des aspirations que vous représentez.
- Soyez assurés que vous êtes écoutés et que, même lorsque les circonstances ne permettent pas de satisfaire toutes vos revendications, ni leur légitimité, ni votre représentativité ne sont en cause.
- Je tiens à dire, en outre, que je sais gré à l'UFAC du rôle qu'elle a joué, depuis 40 ans, dans la création et le développement de la Fédération mondiale des anciens combattants. Il fallait que les survivants de deux guerres dévastatrices fussent au premier rang des hommes de bonne volonté dont l'entente est nécessaire à la survie et à l'avenir de notre continent.
- J'ose espérer que les travaux de l'Assemblée générale de l'UFAC seront à la hauteur de son passé et qu'une fois encore vous ferez entendre une voix à laquelle, vous le savez, j'ai toujours été particulièrement attentif.\
- Forte des dix sept cent mille anciens combattants qu'elle fédère, votre organisation a pleinement répondu à l'attente du législateur de 1945, qui, sans méconnaître la diversité du monde combattant, souhaitait susciter un interlocuteur qui fût à même d'exprimer l'ensemble des intérêts et des aspirations que vous représentez.
- Soyez assurés que vous êtes écoutés et que, même lorsque les circonstances ne permettent pas de satisfaire toutes vos revendications, ni leur légitimité, ni votre représentativité ne sont en cause.
- Je tiens à dire, en outre, que je sais gré à l'UFAC du rôle qu'elle a joué, depuis 40 ans, dans la création et le développement de la Fédération mondiale des anciens combattants. Il fallait que les survivants de deux guerres dévastatrices fussent au premier rang des hommes de bonne volonté dont l'entente est nécessaire à la survie et à l'avenir de notre continent.
- J'ose espérer que les travaux de l'Assemblée générale de l'UFAC seront à la hauteur de son passé et qu'une fois encore vous ferez entendre une voix à laquelle, vous le savez, j'ai toujours été particulièrement attentif.\