7 janvier 1989 - Seul le prononcé fait foi
Allocution de bienvenue de M. François Mitterrand, Président de la République, adressée aux chefs des délégations présents à la Conférence internationale sur l'interdiction des armes chimiques, Paris, Palais de l'Élysée le 7 janvier 1989.
Mesdames et messieurs,
- Je suis heureux de vous accueillir dans ce palais de l'Elysée, à la fin d'une journée où vous avez beaucoup débattu et travaillé pour la paix et le désarmement. Je n'ai pu, ce matin, vous rencontrer comme je l'aurais souhaité. Ici, ce soir, il me sera plus facile de vous connaître personnellement.
- La Conférence internationale pour le désarmement chimique a réuni de très nombreuses, de fortes et éminentes personnalités. Ce niveau de représentation nous permet d'espérer qu'à l'issue de vos travaux, les décisions qui seront prises viendront donner l'élan décisif à la conférence de Genève pour parvenir à des résultats qui représenteront, pour l'humanité, un véritable progrès.
- Comme je l'ai dit ce matin, cette démarche se situe dans le cadre d'un mouvement général des esprits vers un désarmement dans tous les domaines où cela est nécessaire. Mais chacun de ces domaines à lui seul, si l'on parvient à un accord, représente déjà un acte de bonne volonté et de volonté dont les hommes sur la terre se réjouiront.
- Je le répète, mesdames et messieurs, soyez les bienvenus. La France est extrêmement heureuse de vous accueillir. Votre présence nous honore. La présence de monsieur le secrétaire général des Nations unies qui a suivi tout ces travaux, déjà depuis longtemps, est garante, au travers des institutions internationales, du suivi qui sera assuré. Nous, Français, nous croyons aux vertus des organisations internationales, au désarmement, à la sécurité collective, à l'arbitrage lors des conflits.
- Je vous souhaite une bonne soirée, un bon séjour en France. Et quand vous repartirez, vous emporterez nos regrets, car la ville de Paris, et la France tout entière sont extrêmement fiers d'avoir pu rassembler une assemblée internationale de ce niveau.\
- Je suis heureux de vous accueillir dans ce palais de l'Elysée, à la fin d'une journée où vous avez beaucoup débattu et travaillé pour la paix et le désarmement. Je n'ai pu, ce matin, vous rencontrer comme je l'aurais souhaité. Ici, ce soir, il me sera plus facile de vous connaître personnellement.
- La Conférence internationale pour le désarmement chimique a réuni de très nombreuses, de fortes et éminentes personnalités. Ce niveau de représentation nous permet d'espérer qu'à l'issue de vos travaux, les décisions qui seront prises viendront donner l'élan décisif à la conférence de Genève pour parvenir à des résultats qui représenteront, pour l'humanité, un véritable progrès.
- Comme je l'ai dit ce matin, cette démarche se situe dans le cadre d'un mouvement général des esprits vers un désarmement dans tous les domaines où cela est nécessaire. Mais chacun de ces domaines à lui seul, si l'on parvient à un accord, représente déjà un acte de bonne volonté et de volonté dont les hommes sur la terre se réjouiront.
- Je le répète, mesdames et messieurs, soyez les bienvenus. La France est extrêmement heureuse de vous accueillir. Votre présence nous honore. La présence de monsieur le secrétaire général des Nations unies qui a suivi tout ces travaux, déjà depuis longtemps, est garante, au travers des institutions internationales, du suivi qui sera assuré. Nous, Français, nous croyons aux vertus des organisations internationales, au désarmement, à la sécurité collective, à l'arbitrage lors des conflits.
- Je vous souhaite une bonne soirée, un bon séjour en France. Et quand vous repartirez, vous emporterez nos regrets, car la ville de Paris, et la France tout entière sont extrêmement fiers d'avoir pu rassembler une assemblée internationale de ce niveau.\