8 juin 2011 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de félicitations de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, adressée à M. Ollanta Humala, pour son élection à la présidence de la République du Pérou, le 8 juin 2011.
Monsieur le Président,
Le peuple péruvien vient de vous élire à la magistrature suprême. Je suis heureux de vous adresser, en mon nom personnel et au nom du peuple français, mes chaleureuses félicitations et mes vux de plein succès dans l'accomplissement de votre haute mission.
Je me réjouis que le processus électoral, à l'observation duquel a participé une mission de l'Union européenne, se soit déroulé d'une manière très satisfaisante. Au terme d'une campagne très disputée, je suis confiant que vous saurez trouver les voies de l'apaisement et poursuivre la dynamique que connaît aujourd'hui le Pérou, tant dans le domaine économique que dans ceux du renforcement de la gouvernance, des institutions démocratiques et des droits de l'homme.
Attaché aux liens d'amitié traditionnels qui unissent nos deux pays et à nos valeurs partagées, je souhaite que le dialogue bilatéral et la coopération avec votre pays puissent gagner en densité, en particulier dans le domaine économique.
Je suis convaincu que nos entreprises, dont la présence s'est accrue au cours des dernières années mais reste trop modeste, continueront à y étendre leurs activités et contribueront ainsi au développement de votre pays. A ce titre, la signature d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Pérou, qui a marqué une étape importante dans le développement des relations entre les pays européens et le vôtre, doit également permettre de stimuler nos échanges et nos investissements bilatéraux.
Je serais heureux de vous accueillir à Paris à l'occasion d'un de vos déplacements en Europe pour aborder les pistes concrètes de développement, de notre relation bilatérale.
En formant des vux pour vous-même et pour le peuple péruvien, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute considération.
Le peuple péruvien vient de vous élire à la magistrature suprême. Je suis heureux de vous adresser, en mon nom personnel et au nom du peuple français, mes chaleureuses félicitations et mes vux de plein succès dans l'accomplissement de votre haute mission.
Je me réjouis que le processus électoral, à l'observation duquel a participé une mission de l'Union européenne, se soit déroulé d'une manière très satisfaisante. Au terme d'une campagne très disputée, je suis confiant que vous saurez trouver les voies de l'apaisement et poursuivre la dynamique que connaît aujourd'hui le Pérou, tant dans le domaine économique que dans ceux du renforcement de la gouvernance, des institutions démocratiques et des droits de l'homme.
Attaché aux liens d'amitié traditionnels qui unissent nos deux pays et à nos valeurs partagées, je souhaite que le dialogue bilatéral et la coopération avec votre pays puissent gagner en densité, en particulier dans le domaine économique.
Je suis convaincu que nos entreprises, dont la présence s'est accrue au cours des dernières années mais reste trop modeste, continueront à y étendre leurs activités et contribueront ainsi au développement de votre pays. A ce titre, la signature d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Pérou, qui a marqué une étape importante dans le développement des relations entre les pays européens et le vôtre, doit également permettre de stimuler nos échanges et nos investissements bilatéraux.
Je serais heureux de vous accueillir à Paris à l'occasion d'un de vos déplacements en Europe pour aborder les pistes concrètes de développement, de notre relation bilatérale.
En formant des vux pour vous-même et pour le peuple péruvien, je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'expression de ma très haute considération.