10 juin 1997 - Seul le prononcé fait foi
Point de presse de M. Jacques Chirac, Président de la République, sur la préparation du Conseil européen d'Amsterdam, Paris le 10 juin 1997.
Nous avons eu un entretien dans le cadre de la tournée du Président de l'Union européenne pour la préparation d'Amsterdam, un entretien comme toujours, très agréable. Nous avons parlé d'abord de la CIG, de la Conférence intergouvernementale. Et je pense que nous devrions pouvoir arriver à un résultat positif et je dirais ambitieux à Amsterdam, grâce au travail remarquable qui a été fait depuis six moix par la Présidence hollandaise, travail dont tout le monde a reconnu la qualité.
- Nous avons aussi évoqué l'Union économique et monétaire. Cette Union économique et monétaire vous savez que la France s'y est engagée et entend que l'Euro puisse être mis en oeuvre dès le 1er janvier 1999. Partageant ce point de vue, cela suppose que nous examinions à Amsterdam, d'une part le pacte de stabilité et de croissance qui, je l'espère, pourra être entériné à Amsterdam et d'autre part les modalités sociales et de coordination des politiques économiques sur lesquelles - à juste titre - le gouvernement français vient de mettre l'accent. Vous savez que c'est une thèse que la France défend déjà depuis deux ans notamment lorsque j'ai déposé le mémorandum sur le modèle social européen et j'ai relayé auprès du Président de l'Union, les soucis, les préoccupations et les demandes du gouvernement français sur ce dernier point.\
- Nous avons aussi évoqué l'Union économique et monétaire. Cette Union économique et monétaire vous savez que la France s'y est engagée et entend que l'Euro puisse être mis en oeuvre dès le 1er janvier 1999. Partageant ce point de vue, cela suppose que nous examinions à Amsterdam, d'une part le pacte de stabilité et de croissance qui, je l'espère, pourra être entériné à Amsterdam et d'autre part les modalités sociales et de coordination des politiques économiques sur lesquelles - à juste titre - le gouvernement français vient de mettre l'accent. Vous savez que c'est une thèse que la France défend déjà depuis deux ans notamment lorsque j'ai déposé le mémorandum sur le modèle social européen et j'ai relayé auprès du Président de l'Union, les soucis, les préoccupations et les demandes du gouvernement français sur ce dernier point.\