14 décembre 1993 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de condoléances de M. François Mitterrand, Président de la République, adressée à Mme Jozsef Antall, lors du décès de son époux, Premier ministre de Hongrie, Paris le 14 décembre 1993.
Madame,
- C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris la disparition de votre mari. Je le savais malade mais j'espérais néanmoins qu'une guérison lui permettrait finalement de retrouver sa place à la tête du gouvernement de son pays et de reprendre le projet que nous avions formé de sa prochaine visite en France, projet dont je me réjouissais tout particulièrement. Je souhaite donc vous assurer personnellement de mes sentiments de vive sympathie dans le deuil qui vous frappe et qui frappe la Hongrie tout entière.
- Je vous prie de recevoir, Madame, mes très respectueux hommages et mes condoléances personnelles.\
- C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris la disparition de votre mari. Je le savais malade mais j'espérais néanmoins qu'une guérison lui permettrait finalement de retrouver sa place à la tête du gouvernement de son pays et de reprendre le projet que nous avions formé de sa prochaine visite en France, projet dont je me réjouissais tout particulièrement. Je souhaite donc vous assurer personnellement de mes sentiments de vive sympathie dans le deuil qui vous frappe et qui frappe la Hongrie tout entière.
- Je vous prie de recevoir, Madame, mes très respectueux hommages et mes condoléances personnelles.\