28 février 1991 - Seul le prononcé fait foi
Déclaration de M. François Mitterrand, Président de la République, à FR3 Aquitaine le 28 février 1991, à la suite de l'arrêt des hostilités dans le Golfe.
Les hostilités ont cessé ce matin dans le Golfe et je suis venu aussitôt, ici, à Bayonne, pour saluer les familles des deux soldats français tués au combat. On imagine leur souffrance.
- Je tiens aussi à exprimer à nos armées la gratitude de la Nation, sur tous les terrains où elles ont été appelées à servir, elles ont remarquablement représenté la France au côté des forces alliées et des pays amis.
- Je veux aussi remercier les Français qui, dans leur immense majorité, ont soutenu nos efforts pour la défense du droit et qui en ont accepté les risques. Alors maintenant nous avons d'abord à régler les conditions du cessez-le-feu, ce n'est pas terminé. Ensuite nous avons à rechercher les bases dans le cadre des Nations unies d'une paix juste, une paix juste pour tous. Enfin, nous Français, nous avons chacun où il se trouve à donner à la France le moyen de reprendre sa marche en avant.
- Enfin, j'aurai l'occasion de m'exprimer un peu plus tard pour traiter chacun de ces aspects.\
- Je tiens aussi à exprimer à nos armées la gratitude de la Nation, sur tous les terrains où elles ont été appelées à servir, elles ont remarquablement représenté la France au côté des forces alliées et des pays amis.
- Je veux aussi remercier les Français qui, dans leur immense majorité, ont soutenu nos efforts pour la défense du droit et qui en ont accepté les risques. Alors maintenant nous avons d'abord à régler les conditions du cessez-le-feu, ce n'est pas terminé. Ensuite nous avons à rechercher les bases dans le cadre des Nations unies d'une paix juste, une paix juste pour tous. Enfin, nous Français, nous avons chacun où il se trouve à donner à la France le moyen de reprendre sa marche en avant.
- Enfin, j'aurai l'occasion de m'exprimer un peu plus tard pour traiter chacun de ces aspects.\