18 février 1991 - Seul le prononcé fait foi
Allocution de M. François Mitterrand, Président de la République, lors de l'arrivée de M. Rodrigo Borja, Président de la République d'Equateur, Roissy le 18 février 1991.
Monsieur le Président,
- Nous vous accueillons aujourd'hui avec un très grand plaisir, en raison des liens qui unissent nos deux pays, mais aussi en raison de notre rencontre encore récente qui nous a valu, à ma femme et à moi-même, de recevoir l'accueil le plus hospitalier en Equateur et particulièrement à Quito.
- Nous avions pu en même temps jouir de l'hospitalité de Mme Borja qui nous fait une grande joie en vous accompagnant au cours de ce voyage.
- Pendant les quelques heures que vous passerez parmi nous en France, première visite d'un chef d'Etat en exercice de l'Equateur, j'espère que vous pourrez profiter des conversations qui vous permettront de débattre avec les différentes personnalités françaises, comme avec moi-même, de tous les problèmes de l'heure.
- Dès ce soir, nous pourrons vous parler, au nom de la France, lors du dîner d'Etat que j'aurai l'occasion de vous offrir.
- Je voudrais que vous-même, madame et vous, monsieur le Président, ainsi que tous vos compagnons de voyage, vous trouviez en France l'étape espérée où se retrouvent des amis, des amis de longue date à travers les siècles et qui comptent bien approfondir maintenant une relation nécessaire.
- Dès maintenant, monsieur le Président, et vous mesdames, sachez que vous êtes les bienvenus.\
- Nous vous accueillons aujourd'hui avec un très grand plaisir, en raison des liens qui unissent nos deux pays, mais aussi en raison de notre rencontre encore récente qui nous a valu, à ma femme et à moi-même, de recevoir l'accueil le plus hospitalier en Equateur et particulièrement à Quito.
- Nous avions pu en même temps jouir de l'hospitalité de Mme Borja qui nous fait une grande joie en vous accompagnant au cours de ce voyage.
- Pendant les quelques heures que vous passerez parmi nous en France, première visite d'un chef d'Etat en exercice de l'Equateur, j'espère que vous pourrez profiter des conversations qui vous permettront de débattre avec les différentes personnalités françaises, comme avec moi-même, de tous les problèmes de l'heure.
- Dès ce soir, nous pourrons vous parler, au nom de la France, lors du dîner d'Etat que j'aurai l'occasion de vous offrir.
- Je voudrais que vous-même, madame et vous, monsieur le Président, ainsi que tous vos compagnons de voyage, vous trouviez en France l'étape espérée où se retrouvent des amis, des amis de longue date à travers les siècles et qui comptent bien approfondir maintenant une relation nécessaire.
- Dès maintenant, monsieur le Président, et vous mesdames, sachez que vous êtes les bienvenus.\