21 mai 2008 - Seul le prononcé fait foi
Déclaration de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, sur l'accord entre les représentants des principales forces politiques libanaises, à Paris le 21 mai 2008.
Je suis particulièrement heureux de l'accord intervenu ce matin à Doha entre les représentants des principales forces politiques libanaises, conclu sous l'égide du Qatar et de la ligue arabe. C'est un grand succès pour le Liban et pour tous les Libanais, auxquels le courage et la patience n'ont jamais fait défaut, en dépit des épreuves traversées.
Je tiens à cette occasion à rendre hommage aux responsables politiques libanais, dont la détermination à résoudre les problèmes de leur pays par le dialogue est aujourd'hui récompensée.
Je tiens aussi à saluer les efforts de tous ceux qui ont contribué à un tel résultat, ouvrant la voie à une consolidation de la paix civile et au retour à un fonctionnement normal des institutions libanaises. Je pense en particulier au rôle déterminant de l'Emir du Qatar Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani et de son Premier Ministre Cheikh Hamad bin Jassem, ainsi qu'à celui du Secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa.
La France, qui s'est elle-même beaucoup investie dans la recherche d'une solution à la crise libanaise, n'a cessé d'appuyer le processus qui a permis d'aboutir à cette entente.
Je souhaite que cet accord soit mis en oeuvre dans son intégralité, pour garantir son succès et jeter les bases d'une véritable réconciliation nationale. Le dialogue engagé à Doha doit se poursuivre au Liban.Amie du Liban, solidaire de tous les Libanais, la France se tient plus que jamais à leurs côtés dans la nouvelle période qui s'ouvre. Elle reste plus que jamais engagée en faveur de l'unité, de la stabilité, de la souveraineté et de l'indépendance du Liban.
Je tiens à cette occasion à rendre hommage aux responsables politiques libanais, dont la détermination à résoudre les problèmes de leur pays par le dialogue est aujourd'hui récompensée.
Je tiens aussi à saluer les efforts de tous ceux qui ont contribué à un tel résultat, ouvrant la voie à une consolidation de la paix civile et au retour à un fonctionnement normal des institutions libanaises. Je pense en particulier au rôle déterminant de l'Emir du Qatar Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani et de son Premier Ministre Cheikh Hamad bin Jassem, ainsi qu'à celui du Secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa.
La France, qui s'est elle-même beaucoup investie dans la recherche d'une solution à la crise libanaise, n'a cessé d'appuyer le processus qui a permis d'aboutir à cette entente.
Je souhaite que cet accord soit mis en oeuvre dans son intégralité, pour garantir son succès et jeter les bases d'une véritable réconciliation nationale. Le dialogue engagé à Doha doit se poursuivre au Liban.Amie du Liban, solidaire de tous les Libanais, la France se tient plus que jamais à leurs côtés dans la nouvelle période qui s'ouvre. Elle reste plus que jamais engagée en faveur de l'unité, de la stabilité, de la souveraineté et de l'indépendance du Liban.