23 septembre 2002 - Seul le prononcé fait foi
Lettre de félicitations de M. Jacques Chirac, Président de la République, à l'occasion de la victoire de M. Gerhard Schröeder lors des élections législatives en Allemagne, Paris le 23 septembre 2002.
Monsieur le Chancelier, cher Gerhard,
Après ta belle victoire électorale, je tiens à t'adresser mes chaleureuses félicitations et tous mes voeux de succès dans la haute mission qui t'a, une nouvelle fois, été confiée.
Je me réjouis de la perspective de poursuivre la coopération confiante et amicale qui s'est instaurée entre nous depuis 1998. Tu peux être assuré de mon entière disposition à oeuvrer avec toi à un nouveau développement des relations entre la France et l'Allemagne. En cette période décisive pour l'Union européenne, à la veille d'un grand élargissement et d'une profonde réforme de ses institutions, nos deux pays doivent continuer à exercer un rôle moteur dans la construction européenne.
Comme nous en étions convenus lors du sommet de Schwerin et de notre dernière rencontre à Hanovre, nous devons ensemble préparer les prochaines échéances européennes de Bruxelles et de Copenhague et rénover la relation franco-allemande à l'occasion de la commémoration du 40ème anniversaire du Traité de l'Elysée en janvier 2003.
Dans l'attente du plaisir de te revoir, je te prie de croire, Monsieur le Chancelier, à l'assurance de ma très haute considération.
Bien amicalement à toi,
Après ta belle victoire électorale, je tiens à t'adresser mes chaleureuses félicitations et tous mes voeux de succès dans la haute mission qui t'a, une nouvelle fois, été confiée.
Je me réjouis de la perspective de poursuivre la coopération confiante et amicale qui s'est instaurée entre nous depuis 1998. Tu peux être assuré de mon entière disposition à oeuvrer avec toi à un nouveau développement des relations entre la France et l'Allemagne. En cette période décisive pour l'Union européenne, à la veille d'un grand élargissement et d'une profonde réforme de ses institutions, nos deux pays doivent continuer à exercer un rôle moteur dans la construction européenne.
Comme nous en étions convenus lors du sommet de Schwerin et de notre dernière rencontre à Hanovre, nous devons ensemble préparer les prochaines échéances européennes de Bruxelles et de Copenhague et rénover la relation franco-allemande à l'occasion de la commémoration du 40ème anniversaire du Traité de l'Elysée en janvier 2003.
Dans l'attente du plaisir de te revoir, je te prie de croire, Monsieur le Chancelier, à l'assurance de ma très haute considération.
Bien amicalement à toi,