28 novembre 1989 - Seul le prononcé fait foi
Message de condoléances de M. François Mitterrand, Président de la République, adressé à M. Said Mohammed Djohar, Président de la Cour Suprême des Comores, à la suite de l'assassinat de M. Ahmed Abdallah Abderamane, Président des Comores, Paris le 28 novembre 1989.
Monsieur le Président,
- J'ai appris avec consternation la mort violente du Président Abdallah Abderamane.
- En ces circonstances tragiques, j'ai le sentiment de voir disparaître une grande figure de l'histoire comorienne dont j'ai pu apprécier en maintes circonstances l'attachement qu'il éprouvait envers la France.
- Je tiens à vous exprimer, ainsi qu'au gouvernement et au peuple comorien, mes condoléances les plus sincères.
- Je souhaite vivement, que dans cette difficile épreuve, soient préservées la paix et la stabilité. Je veillerai, pour ma part, à ce que se poursuivent les liens traditionnels d'amitié et de coopération entre nos deux pays.\
- J'ai appris avec consternation la mort violente du Président Abdallah Abderamane.
- En ces circonstances tragiques, j'ai le sentiment de voir disparaître une grande figure de l'histoire comorienne dont j'ai pu apprécier en maintes circonstances l'attachement qu'il éprouvait envers la France.
- Je tiens à vous exprimer, ainsi qu'au gouvernement et au peuple comorien, mes condoléances les plus sincères.
- Je souhaite vivement, que dans cette difficile épreuve, soient préservées la paix et la stabilité. Je veillerai, pour ma part, à ce que se poursuivent les liens traditionnels d'amitié et de coopération entre nos deux pays.\